Ariadne, Hugo 678.
26/02/09 07:45
Dans cette
petite salle de la marbrerie, nous n'étions qu'une
poignée de privilégiés à assister à la générale
d'Hugo 678 par la Compagnie Ariadne.
Deux comédiennes, juste un décor d'accessoires techniques et c'était parti pour une heure de bonheur.
Un créneau de carton fait Notre-Dame, il fera aussi téléphone et je ne sais quoi encore, les deux doigts d'une main se font homme, c'est de la magie ; il y aura des chevaux hennissants, des batailles, de l'amour et de la tragédie, Victor Hugo quoi… ça meurt à mort là dedans…
Moi, j'étais comme un enfant, bouche bée, on me donnait des pleines becquées de mots vivants, j'étais gavé.
Avant on avait eu une séance de boulot, genre : on dirait qu'on est les ambassadeurs de la compagnie Ariadne pour les spectacles Victor Hugo… Bon, je rigole, mais ça à l'air vrai cette histoire puisque qu'on a un rencard avec une classe vers la fin du mois de mars. Ha ! on fait moins le malin ? Ben oui, surtout que je trouve qu'on a pas trop le temps de bosser dans ces séances, c'est trop court. Du coup on se retrouve avec des devoirs à faire à la maison…
J'ai fait quelques images de la pièce, mais les conditions de lumières étaient impossibles, en plus j'essaie de me faire discret et j'ai pas pensé à temps (quel con !) à installer mon 1,8 et c'est tout au zoom que j'ai fait ces pauvres photos…
Autre misère encore plus misérable, je n'ai pas le nom des comédiennes…
Deux comédiennes, juste un décor d'accessoires techniques et c'était parti pour une heure de bonheur.
Un créneau de carton fait Notre-Dame, il fera aussi téléphone et je ne sais quoi encore, les deux doigts d'une main se font homme, c'est de la magie ; il y aura des chevaux hennissants, des batailles, de l'amour et de la tragédie, Victor Hugo quoi… ça meurt à mort là dedans…
Moi, j'étais comme un enfant, bouche bée, on me donnait des pleines becquées de mots vivants, j'étais gavé.
Avant on avait eu une séance de boulot, genre : on dirait qu'on est les ambassadeurs de la compagnie Ariadne pour les spectacles Victor Hugo… Bon, je rigole, mais ça à l'air vrai cette histoire puisque qu'on a un rencard avec une classe vers la fin du mois de mars. Ha ! on fait moins le malin ? Ben oui, surtout que je trouve qu'on a pas trop le temps de bosser dans ces séances, c'est trop court. Du coup on se retrouve avec des devoirs à faire à la maison…
J'ai fait quelques images de la pièce, mais les conditions de lumières étaient impossibles, en plus j'essaie de me faire discret et j'ai pas pensé à temps (quel con !) à installer mon 1,8 et c'est tout au zoom que j'ai fait ces pauvres photos…
Autre misère encore plus misérable, je n'ai pas le nom des comédiennes…