Ariadne, Hugo 678.
Dans cette petite salle de la marbrerie, nous n'étions qu'une poignée de privilégiés à assister à la générale d'Hugo 678 par la Compagnie Ariadne.
Deux comédiennes, juste un décor d'accessoires techniques et c'était parti pour une heure de bonheur.
Un créneau de carton fait Notre-Dame, il fera aussi téléphone et je ne sais quoi encore, les deux doigts d'une main se font homme, c'est de la magie ; il y aura des chevaux hennissants, des batailles, de l'amour et de la tragédie, Victor Hugo quoi… ça meurt à mort là dedans…
Moi, j'étais comme un enfant, bouche bée, on me donnait des pleines becquées de mots vivants, j'étais gavé.
Avant on avait eu une séance de boulot, genre : on dirait qu'on est les ambassadeurs de la compagnie Ariadne pour les spectacles Victor Hugo… Bon, je rigole, mais ça à l'air vrai cette histoire puisque qu'on a un rencard avec une classe vers la fin du mois de mars. Ha ! on fait moins le malin ? Ben oui, surtout que je trouve qu'on a pas trop le temps de bosser dans ces séances, c'est trop court. Du coup on se retrouve avec des devoirs à faire à la maison…
J'ai fait quelques images de la pièce, mais les conditions de lumières étaient impossibles, en plus j'essaie de me faire discret et j'ai pas pensé à temps (quel con !) à installer mon 1,8 et c'est tout au zoom que j'ai fait ces pauvres photos…
Autre misère encore plus misérable, je n'ai pas le nom des comédiennes…


               
Hugo